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A Paris, la Manufacture genevoise a présenté sa dernière série Métiers d’art qui s’inscrit dans l’étroite collaboration qu’entretient la Maison avec le musée du Louvre depuis 2019. Cette nouvelle édition de quatre pièces en séries limitées, inspirées de chefs-d’œuvre de l’Antiquité, fait la démonstration qu’art et horlogerie tendent parfois au sublime.
En annonçant la fin prochaine de la mythique Nautilus en acier référence 5711/1A, Patek Philippe a-t-il pris la bonne décision ? Dans tous les cas, les experts saluent, les prix flambent et les aficionados sur liste d’attente maugréent.
De toutes les inventions ayant contribué à l’amélioration des montres mécaniques, celle de l’organe réglant est la plus essentielle, mais aussi la moins bien documentée. Pour corriger cette lacune, voici racontée l’histoire des échappements des origines aux nouveaux régulateurs en silicium. Cinquième partie : de l’échappement libre du XIXe siècle à l’échappement à cheville des années 1930.
En 1991, Hermès dévoilait cette montre de forme combinant un carré, un rectangle et le fameux motif « Chaîne d’ancre ». Une signature singulière devenue un classique de l’horlogerie.
La fonction dicte la forme. C’est selon la fameuse devise du mouvement Bauhaus que Patek Philippe crée la Calatrava en 1932. L’épure et l’élégance se déclinent depuis lors avec une remarquable simplicité formelle.
La vie de Beaumarchais est celle d’un esprit universel, génial touche-à-tout du siècle des Lumières. Homme d’affaires et financier hardi, espion du roi et aventurier intrépide, redoutable pamphlétaire et dramaturge, libertin et visionnaire, il fut aussi… l’horloger à qui l’on doit l’invention de l’échappement à double virgule.
Symbole d’attachement sentimental, la Cadenas décloisonne les genres. De son esthétique singulière qui marie joaillerie et horlogerie, elle enveloppe le poignet avec une folle modernité. Hermétique aux modes, depuis 1935.
De toutes les inventions ayant contribué à l’amélioration des montres mécaniques, celle de l’organe réglant est la plus essentielle, mais aussi la moins bien documentée. Pour corriger cette lacune, voici racontée l’histoire des échappements des origines aux nouveaux régulateurs en silicium. Quatrième partie : des échappements exotiques du XVIIIe siècle à l’échappement à ancre suisse dès 1753.
