Un sacré challenge que de redonner vie à Mary Poppins, ce conte enchanteur couronné par cinq oscars ! Mais cette fois c’est dans les années 1930, durant la Grande Dépression, que la dame au parapluie ascensionnel revient donc dans la famille Banks, soit 20 ans après sa première visite. Autant le dire, elle ne va pas chômer ! Si elle s’est fait un nom en jouant les secrétaires un peu vachardes dans Le Diable s’habille en Prada, avec Mary Poppins, Emily Blunt, 35 ans, s’offre l’un des rôles les plus sympathiques et charismatiques de sa carrière !
Je suis quasiment sûre que c’est l’un des premiers films que j’ai regardés quand j’étais enfant. Je devais avoir 6 ans. Pour autant, je n’ai pas voulu revoir Mary Poppins quand j’ai su que j’avais décroché le rôle de cette suite. Pourquoi ? Parce que j’ai toujours su que Julie Andrews est un bijou, un diamant que l’on doit laisser dans son écrin. Mon but était d’apporter ma propre pierre à l’édifice mais en aucun cas de lui être comparée. Et puis, ce sont deux histoires différentes. Le film se passe après la crise de 1929, à une époque où les enfants du premier film, Michael et Jane, ont bien grandi. Ils sont même devenus des adultes que rien ne fait sourire. Heureusement, Mary redescend de ses nuages pour remettre un peu de gaîté dans leur quotidien.
Quel gamin n’a pas rêvé, même une seule seconde, de voir sa chambre se ranger en un simple claquement de doigts ? Mary, c’était une héroïne réconfortante, la nanny que nous rêvions tous d’avoir à la maison. Même si elle semblait très autoritaire parfois. Je ne dois pas être la seule dans ce cas ! Vous savez, ce qui est beau dans ce personnage, c’est qu’elle fait le bien sans essayer d’en tirer profit. C’est une vraie héroïne qui sait immédiatement ce qu’il faut faire pour soulager les autres. Mary est un personnage bienveillant, et par les temps qui courent je pense que son retour nous fera le plus grand bien. Nous vivons dans un monde où la haine et la peur de l’autre semblent avoir pris le dessus. Ce que j’aime enfin dans ce film, c’est sa poésie. Nous en avons cruellement besoin. Comme nous avons besoin que nos enfants restent des enfants, qu’ils se mettent à rêver avec des histoires de leur âge.
Oui, c’était une Swatch Mickey Mouse avec un bracelet Velcro. Je m’en souviens bien. Elle était de toutes les couleurs. Avec une particularité : la couleur rose était fluo. C’était magique la nuit ! J’adorais cette montre. Je l’ai perdue. Ce sont des choses qui arrivent. Surtout lorsque vous êtes une petite fille…
C’est peut-être tout bête, mais quand j’achète un vêtement j’aime palper le tissu, la matière. Avec une montre, je fonctionne de la même façon. Je suis très sensible aux aciers brossés ou à l’or blanc. Voire l’or rose, qui apporte une touche plus féminine, plus délicate. Certes, ce qu’il y a au cœur de la montre doit être passionnant, mais je suis plus attirée par l’esthétique, par l’harmonie des formes, par les proportions que par l’aspect purement technique. Je n’aime pas les montres trop géométriques, angulaires. J’aime la douceur des lignes et les cadrans discrets ! Pas sûre que la montre Mickey fluo serait encore mon choix aujourd’hui.
Je possède moins de montres que de chaussures ! Cela dit, une belle montre, c’est l’accessoire par excellence. Parfois, nous, les femmes, nous ne supportons pas l’idée d’avoir le poignet nu. Alors un bracelet, c’est très joli, mais une montre, c’est tout autre chose dans le prolongement du bras. Elle rehausse votre tenue et votre style. Personnellement, j’aime bien assortir la couleur du bracelet avec mes chaussures. C’est la petite touche en plus. Celle qui distingue les femmes de goût des femmes moins exigeantes, je présume.
L’acier est plus résistant, mais c’est aussi beaucoup plus lourd. Et comme j’ai de petits poignets… J’aime bien le cuir en règle générale. En fait, tout dépend de la montre et de ce que je porte avec.
Analogique ! J’aime bien cette petite gymnastique de l’esprit qui consiste à savoir où est la petite aiguille et où est la grande. (rires) Je ne suis pas fan des gros boutons-poussoirs. À part pour les montres d’homme…
Noël semble le parfait moment ! Mais en réfléchissant bien, je me dis qu’au fond il n’y a pas de moment idéal. C’est juste une question d’envie et d’attention. Il faut laisser parler son instinct.