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Les 5 montres taguées #Baselworld les plus populaires sur...
Baselworld

Les 5 montres taguées #Baselworld les plus populaires sur Instagram

mercredi, 11 avril 2018
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Cécile Fischer
Rédactrice, ReUp

“La sagesse en mots”

Raconter une histoire mot par mot.

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8 min de lecture

Une fois de plus, Baselworld a fait fort avec son lot de pièces exceptionnelles et ses modèles vintage. Quelles ont été les montres « préférées » des visiteurs ? Nous avons examiné les réseaux sociaux afin de voir quelles ont été les cinq montres les plus taguées sur Instagram durant Baselworld 2018.

Une année de plus au compteur, une édition Baselworld de plus et toujours plus de montres dont on peut se réjouir. Comme au Salon International de la Haute Horlogerie 2018, les marques ont su miser sur leurs acquis, un œil sur le passé, afin de pouvoir créer les montres d’aujourd’hui. Des retouches apportées aux modèles anciens aux hommages rendus à quelques classiques intemporels, cette édition 2018 a largement célébré les icônes horlogères des marques. Alors que Rolex s’empare de trois des cinq premières places de notre classement, on trouve à ses côtés deux garde-temps originaux : la Patek Philippe Nautilus Calendrier Perpétuel 5740G, qui intègre pour la première fois la fonction QP, et la Nomos Autobahn neomatik 41, produit audacieux né d’un partenariat avec le designer Werner Aisslinger.

Méthodologie : Comme le hashtag a été utilisé plus de 185’000 fois et que chaque image a dû être visionnée individuellement, nous n’avons retenu qu’un échantillon de 2’500 images en calculant les pourcentages à partir de ce dernier afin de dévoiler quelles montres ont été les plus prisées. Voici donc la liste des 5 montres avec le hashtag #baselworld les plus populaires sur Instagram, par ordre descendant.

Rolex Oyster Perpetual GMT-Master II « pepsi »

Pourcentage du total : 18,33
Histoire : La Rolex GMT-Master a été initialement créée afin d’assister les pilotes dans leur navigation. Lancée en 1955, la GMT a été témoin de la rapide expansion des voyages intercontinentaux lors de la seconde moitié du XXe siècle. Devenue la montre fétiche de la Pan Am, l’une des compagnies aériennes les plus importantes de l’époque, elle tient la vedette lors d’un événement aérien majeur en 1959 : le premier vol Pan Am Jet Clipper non-stop de New York à Moscou. Aujourd’hui, cette montre affichant un second fuseau horaire s’est fait une réputation aussi bien sur terre que dans les airs.
Pourquoi : Les retouches apportées à la GMT-Master II dotée de sa lunette en céramique bicolore rouge et bleu avec inserts en Cerachrom étaient fort attendues par la communauté des aficionados. Le rouge pour les heures de jour et le bleu pour les heures de nuit rappellent la GMT-Master originale lancée en 1955. Équipé du calibre de dernière génération 3285 protégé par 10 brevets, le modèle gagne en efficacité, notamment grâce à une réserve de batterie de 70 heures. Avec son nouveau bracelet en acier Oystersteel, cette montre se vend à un prix bien plus abordable que les précédentes versions en or blanc. C’est également la première fois que Rolex décide de mettre son bracelet Jubilee sur une GMT, jusque-là réservé uniquement aux modèles Datejust.

Omega Speedmaster « Dark Side of the Moon » Apollo 8

Pourcentage du total : 11,66
Histoire : Omega est une marque qui a été associée aux programmes spatiaux de la Nasa depuis les années 1960. Dévoilée en 1957, la Speedmaster a commencé son aventure spatiale en 1965, quand la Nasa l’a retenue pour ses diverses missions habitées. En juillet 1969, elle devenait la première montre portée sur la lune, exploit réédité lors des six alunissages suivants. Pas étonnant que son petit nom soit devenu « the Moonwatch ».
Pourquoi : Si les anniversaires génèrent souvent un grand nombre de discussions en ligne, celui-ci n’a pas fait exception. En l’honneur des 50 ans de la mission Apollo 8, Omega lance une nouvelle version de sa Speedmaster dans la ligne « Dark Side of the Moon ». Restant fidèle à l’esprit Apollo 8, la montre possède un cadran squelette et un mouvement soumis à une ablation laser afin de donner un rendu réaliste de la surface de la lune. Exposée en avant-première lors de Baselworld, la montre sera commercialisée à partir du mois d’août.

Rolex Oyster Perpetual Submariner

Pourcentage du total : 8
Histoire : Alors qu’Omega est associé à l’espace, Rolex est intimement lié à la mer. La Submariner a été spécifiquement créée pour les explorations sous-marines et la plongée. Elle est d’ailleurs devenue la première montre au monde à résister à des pressions correspondant à 100 mètres de profondeur, une limite repoussée depuis à 300 mètres. Lancée en 1953, la Submariner d’aujourd’hui reste très fidèle au design original, les dernières retouches datant de 2008. Bien que nombre de rumeurs aient circulé cette année quant à un relookage du modèle pour Baselworld, la montre n’a connu aucun changement. Ce qui ne l’a pas empêchée de faire des vagues sur Internet.
Pourquoi : Un classique reste un classique, et un classique aura toujours la cote au sein des réseaux sociaux. Robuste et fonctionnelle, la Submariner étant probablement l’une des Rolex les plus populaires – si ce n’est la plus populaire –, il n’est dès lors pas étonnant de la trouver sur le podium.

Rolex Submariner ?? Tag a watch lover!⌚️ ?: @rolexshow_israel | #successhour

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Rolex Oyster Perpetual Daytona Rainbow in Everose

Pourcentage du total : 6,66
Histoire : Créée en 1963, l’Oyster Perpetual Cosmograph Daytona est rapidement devenue une icône, tout d’abord sur les circuits automobiles, puis dans la rue. En 2012, ce grand classique de l’horlogerie contemporaine connaissait une luxueuse déclinaison. Même résistance à l’eau, même calibre robuste, la montre n’en recevait pas moins 36 saphirs arc-en-ciel sur la lunette, 56 diamants sur la carrure, des compteurs « gold crystal » 18 carats et un bracelet en or jaune ou blanc. Bien que très populaire, particulièrement à Hollywood, cette Daytona Rainbow a cessé d’être produite quelques années plus tard, finalement relancée en 2018 avec un bracelet en or Everose.
Pourquoi : Lors de son lancement en 2012, la Rolex Rainbow est devenue l’une des montres actuelles de la marque les plus prisées des collectionneurs, les éditions originales en or jaune ou blanc atteignant facilement trois fois leur prix d’origine sur le marché de seconde main. La difficulté de mettre la main sur l’une de ces pièces explique l’engouement du public pour cette montre et les multiples clichés qui en découlent.

Bulgari Octo Finissimo Tourbillon Automatic

Pourcentage du total : 6
Histoire : Lors de Baselworld 2017, Bulgari a présenté une vraie montre sport de luxe arborant un design audacieux, équipée du mouvement automatique le plus fin jamais réalisé. Avec ce modèle, la bataille de l’extra-plat montait d’un cran vu que Piaget n’allait pas s’avouer vaincu. Au SIHH 2018, la Maison genevoise dévoilait ainsi une Altiplano Ultimate Automatic 910P de 4,3 mm, nouveau record. Pour peu de temps. Bulgari récupère aujourd’hui sa couronne avec l’Octo Finissimo Tourbillon Automatic de 3,95 mm, montre automatique et montre à tourbillon la plus fine du marché !
Pourquoi : Un double record n’est pas chose courante pour une montre. Pour cette prouesse, l’Octo Finissimo a certainement mérité une visibilité certaine. Si son cadran minimaliste et son élégante finition en titane sablé ne remportent peut-être pas l’adhésion de tous, tel n’est pas le cas de son implacable mécanique.

C’est la première fois qu’une marque remporte trois places sur cinq. Pas n’importe laquelle, toutefois, vu que Rolex affiche toute sa puissance aussi bien hors ligne qu’en ligne, étant donné le nombre de ses followers sur les réseaux sociaux et sa présence sur le Net. De plus, Rolex est stratégiquement positionné avec des pièces à l’esthétique vintage, dotées d’une mécanique irréprochable, mais aussi avec des modèles qui font une incursion remarquée dans l’univers joaillier via des « complications esthétiques » comme la Daytona Rainbow. Comme toujours, Rolex abat ses cartes habilement et le public en est ravi.

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