Comme son titre l’indique, Endgame marque l’épilogue de ces aventures mettant en scène Robert Downey Jr (Iron Man), Chris Evans (Captain America), Scarlett Johansson (Black Widow) ou encore Jeremy Renner (Hawkeye) et Brie Larson (Captain Marvel). Au programme : du pop-corn, des décibels, des combats épiques, une intrigue à tiroirs, des acteurs « à fond » et des effets spéciaux titanesques. On ne pouvait toutefois pas dire adieu à cette franchise, sans sonder le plus charismatique de ses héros : l’inénarrable Mister Downey Jr !
C’est une DB28 Tourbillon, une De Bethune. On ne fait pas plus léger comme montre. J’aime beaucoup sa ligne futuriste, et comme on ne la sent pas au poignet elle a quelque chose d’aérien. Il faut dire que le boîtier est en titane, et j’aime bien qu’elle soit à remontage manuel.
Eh bien, elle est partie l’année dernière vivre une autre vie après une vente aux enchères. Pour une bonne cause…
Au quotidien, je porte aussi régulièrement une Reverso. Ce que j’aime dans cette marque, c’est le côté intemporel de leurs montres. Je sais, c’est un paradoxe, l’intemporalité pour une montre. Surtout quand on s’attend à ce qu’elle vous donne l’heure exacte ! (rires) Dans Iron Man, j’ai aussi apprécié le look de la Bulgari Diagono.
Grand, je ne sais pas. Je toise en dessous de 1,80 mètre ! (rires)
Oui, une Bell & Ross en titane orange (Bell & Ross BR01-94, ndlr). Il me l’a offerte après le tournage complètement loufoque de Tonnerre sous les tropiques. Comme ça, elle a l’air imposante, mais en fait elle est très légère. Au fond, elle cache bien son jeu. J’adore son look cadran d’avion de chasse, ça en impose.
La Patek Philippe Nautilus Moonphase que m’a offerte ma femme pour mon anniversaire. Un bel objet, une œuvre d’art, une prouesse technologique.
Ma Rolex Submariner de couleur « Hulk ». Je tiens aussi énormément à une Baume & Mercier qui a appartenu à mon grand-père. Un artiste dans son genre. Il était un peu magouilleur sur les bords !
Impossible de répondre à ça. C’est comme si vous me demandiez si je préférais crever mon œil gauche ou mon œil droit. J’ajoute que ces deux personnages n’évoluent pas dans la même époque et que leurs méthodes d’investigation sont complètement différentes. D’un côté, Sherlock est un analyste doué d’une logique implacable ; de l’autre, Iron Man est un cerveau brillant qui doit tout à la technologie. Moi, je me situe au milieu.
Je ne suis pas un « gadget freak ». Je suis plutôt fasciné par ces hommes et ces femmes qui vouent leur vie à la recherche ou au développement de telle ou telle technologie. Il y a quelque temps, j’ai eu l’opportunité de rencontrer Elon Musk, un homme à la base de PayPal, Tesla ou encore SpaceX. Et bien, je suis sûr qu’un type comme lui sortira un jour un Iron Man de son bureau d’étude. En attendant, il ne me viendrait pas à l’esprit de désosser ma montre ou mon téléphone pour voir ce qu’il y a dedans. Je fais confiance au fabricant. Ce qui n’est pas le cas d’Iron Man. C’est le genre de gars qui peut vous dire très exactement combien de transistors ou de composants électroniques se trouvent dans votre portable. Idem avec le mécanisme d’une montre. De tête, il pourrait même vous donner la référence de chacun de ses composants et vous dire où ils ont été fabriqués.
Je pense que je serai encore sur la planète Terre. Même si ce n’est pas forcément le cas, je ne me vois pas vraiment être le premier à aller m’installer sur une autre planète. J’aimerais sincèrement suivre une trajectoire similaire à celle de Robert Redford et essayer de faire quelque chose qui ressemble au Sundance Festival. Je rêverais, par exemple, de fonder un institut qui aide à lancer les jeunes talents plutôt que de rester devant la caméra. En même temps, qui sait où en sera l’industrie du cinéma d’ici-là ? En tout cas, j’espère que j’en ferai toujours partie.