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A Paris, la Manufacture genevoise a présenté sa dernière série Métiers d’art qui s’inscrit dans l’étroite collaboration qu’entretient la Maison avec le musée du Louvre depuis 2019. Cette nouvelle édition de quatre pièces en séries limitées, inspirées de chefs-d’œuvre de l’Antiquité, fait la démonstration qu’art et horlogerie tendent parfois au sublime.
Le récent « super week-end » horloger genevois, ponctué des ventes aux enchères d’automne, d’Only Watch et du Grand Prix d’Horlogerie de Genève, marque l’inexorable ascension des horlogers indépendants dans le panthéon de la profession.
La Fondation de la Haute Horlogerie (FHH), a initié en 2009 une vaste campagne de sensibilisation à la contrefaçon en collaboration avec la Fédération de l'industrie horlogère Suisse (FH), dans les medias internationaux.
Lors du « Financial Times Business of Luxury Summit », qui s’est tenu à Lausanne du 5 au 7 juin derniers, les participants ont débattu autour du thème suivant : « Sur le champ de bataille de la contrefaçon ». Conclusion : face à ce fléau, seul un combat sur tous les fronts, y compris l’éducation du consommateur, donnera des résultats tangibles.
La Fondation de la Haute Horlogerie s’associe à la Journée mondiale anti-contrefaçon du 8 juin 2011 et poursuit son combat contre les faussaires. Depuis 2009, la Fondation de la Haute Horlogerie (FHH) multiplie les campagnes de sensibilisation à la lutte anti-contrefaçon.
Dans le cadre de sa lutte anti-contrefaçon, la Fondation de la Haute Horlogerie a lancé un concours de courts-métrages sur Internet avec comme thème « Un vrai regard sur le faux », tout en proposant aux étudiants de l’École cantonale d’art de Lausanne d’y participer. Remise des prix.
Tout a commencé par un petit laboratoire d’argenterie fondé à Rome en 1884 par Sotirios Bulgaris, orfèvre grec émigré en Italie. Laboratoire qui, en 1905, prend ses quartiers dans la prestigieuse via Condotti, aujourd’hui encore adresse historique de la marque.
Dans un article paru dans le quotidien suisse Le Temps, Pierre-Yves Donzé, chercheur associé à l’université d’Osaka, démontre que la crise horlogère de 1975-1985 n’est pas due au déferlement des montres à quartz japonaises. Depuis la fin de la guerre, la Suisse « s’était endormie sur ses lauriers ».
